Arrivée dans le nord !
La route a été un peu hasardeuse mais finalement nous sommes bien arrivés ; nous avons raté le train à Bangkok et pris un bus à la place. Mais c’était bien mieux, que ce soit en confort comme en durée de voyage.
Chiang Mai possède une partie « ancienne ville » qui se présente sous la forme d’un carré d’environ 1,5 km de côté. Il est donc très facile d’y faire le tour à pied et de découvrir la vingtaine de temples (au moins) qui s’y cachent. Nous ne les avons pas fait tous bien sûr 🙂
Par contre il fait bien plus froid ici ! Rendez nous nos 30° !
Superbes photos ! Il y en a une qui m’intrigue …. celle avec les « marque-ta-page » qui pendent du plafond … Qu’est-ce que cela représente ?
Nous voulons aussi nos 15 degrés …
Bisous
Ce sont des signes du zodiaque d’après ce que j’ai compris. On pouvait les acheter à l’entrée du temple puis les accrocher près du buddha.
Nous voyageons par procuration, c’est sympa.
Un petit mot en plus:
« Tout homme est tiraillé entre deux besoins, le besoin de la pirogue, c’est à dire du voyage, de l’arrachement à soi-même et le besoin de l’arbre, c’est à dire de l’enracinement, de l’identité. Les hommes errent constamment entre ces deux besoins en cédant tantôt à l’un, tantôt à l’autre jusqu’au jour où ils comprennent que c’est avec l’arbre qu’on fabrique la pirogue ». Ceci est un mythe mélanésien de l’île du Vanuatu.
Si l’on se réfère à Thor HEYERDHAL (L’expédition du KON TIKI), le peuplement de cette île (ainsi que celui de l’île de Pâques me semble-t-il) serait le fait de populations précolombiennes parties d’Amérique du Sud et notamment du Pérou. Lorsque tu seras à Lima ou en terre pascuane, tu pourras te faire confirmer par les gens de là-bas que la pirogue, pendant le voyage, sert aussi à transporter une graine ou une bouture qui donnera un arbre magnifique.